Yvan VEROUGSTRAETE sera notre Tête de liste aux élections européennes

Une Europe plus forte pour une société plus juste, plus durable et plus humaine !

Ancien manager de l’année et ex-CEO de Medi-Market notamment, Yvan VEROUGSTRAETE a rejoint Les Engagés il y a un peu plus d’an avec la volonté de vouloir faire de la politique autrement : « Je me suis engagé dans notre mouvement parce que j’ai directement été séduit par le nouveau manifeste qui prône une autre approche et de sortir du cadre. Il serait fou de croire qu’en continuant à faire la même chose on pourrait obtenir un résultat différent. Je pense sincèrement qu’un sursaut de conscience de toutes et tous, politiques et citoyens, est nécessaire pour pouvoir collectivement dessiner les contours d’un nouveau projet de société. Crise énergétique, crise climatique, crise sanitaire, crise sociale… Crise après crise, on a l’impression d’être étouffé par un système sans savoir comment rebondir. Pourtant, pour faire éclore « le monde de demain » auquel nous aspirons depuis longtemps, il faut dépasser l’indignation, la culpabilisation ou les solutions magiques et oser s’attaquer à l’origine systémique des problèmes. Notre pays et l’Europe a besoin d’un énorme changement. »

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Pour Maxime PREVOT, « Yvan est un passionné qui est déterminé à faire évoluer notre société. Dès qu’il nous a rejoints, sa force de travail nous a tous impressionnés. Jour et nuit, Yvan s’est investi pour co-construire avec les équipes des projets de fond avec une vraie vision macro à long terme. Il est à l’initiative de deux grands plans de transformation de notre mouvement, celui sur l’énergie et le climat ainsi que celui présentant une colossale réforme fiscale. Ces plans, unanimement salués par tous les experts belges spécialisés dans ces matières, sont autant de leviers pour construire un modèle plus juste, plus durable et plus humain à l’échelle nationale et aussi européenne. »

C’est donc convaincu qu’Yvan Verougstraete pourra tout mettre en œuvre pour faire changer le modèle à sa racine au niveau européen, que le Président Maxime PREVOT a décidé de lui confier la place de Tête de liste européenne aux prochaines élections 2024.

Pour Yvan VEROUGSTRAETE, « L’Europe est à un tournant, confrontée à la guerre, à une crise climatique et sociale sans précédent, nous devons remettre en cause la globalisation qui nous tire vers le bas et rétablir l’Etat Stratège. Mon intention en me présentant au niveau européen est claire : participer à l’émergence d’une véritable puissance politique européenne, fière de son modèle social, environnemental et démocratique, qui soit capable de changer l’Histoire. »

Yvan Verougstraete s’est déjà fixé les quatre combats prioritaires sur lesquels il souhaite particulièrement s’investir à l’échelon européen pour le quotidien de toutes et de tous les Belges :

  1. Construire une version 2.0 de la mondialisation au service du climat et du progrès social : Nous ne pouvons ignorer que nous faisons partie d’un marché globalisé. Si nous voulons relancer la « machine à progrès », il faut imposer un système dans lequel les limites environnementales et les minima sociaux priment sur le libre-échange. Ceux qui fournissent des efforts ne doivent plus être pénalisés mais récompensés. Il n’y aura pas de transition écologique ou sociale aussi longtemps que le dumping permettra à certains de tirer avantage de leur tricherie. C’est dans cet esprit que je me battrai, par exemple, pour l’intégration du coût carbone dans le prix de tous les biens et services, où qu’ils soient produits. Nous ne pouvons en effet continuer à nous focaliser uniquement sur nos émissions locales alors que nous vivons dans un système interconnecté où les entreprises, l’emploi et le capital se déplacent presque aussi vite que les émissions de CO2.
  2. Garantir l’autonomie européenne dans 6 secteurs stratégiques : Le Covid nous a ouvert les yeux et la guerre en Ukraine fut un rappel douloureux. Aveuglée par un néolibéralisme qui nous promettait une interdépendance positive, l’Europe ne s’est pas suffisamment souciée de protéger son autonomie, qu’elle soit (1) énergétique, (2) numérique, (3) agricole (4), industrielle, (5) en matière de santé ou (6) de défense. Certains grands projets ont été lancés pour essayer de remédier à ce problème (Repower EU, EU4Health…), mais il faut aller beaucoup plus loin et beaucoup plus vite.
    Nous plaidons pour la mise en place d’une stratégie industrielle cohérente et volontariste afin de garantir l’émergence de champions européens dans tous les secteurs stratégiques. En tenant compte de la dynamique d’un marché où la concurrence est réelle, nous devons :
    – lutter contre la concurrence déloyale et le dumping de certains pays ;
    – soutenir nos entreprises face aux géants qui ont acquis des positions dominantes ;
    – sauvegarder notre production agricole de qualité en imposant des clauses miroir aux importations et en accompagnant le monde agricole dans la transition;
    – développer une Europe de la défense coordonnée et beaucoup plus efficace ;
    – négocier, unis, pour être plus forts et pour, par exemple, diminuer les prix de l’énergie et des médicaments.
    Pour garantir l’avenir, notre autonomie et le bien-être de la population, l’Europe doit redevenir un continent d’inventeurs, de producteurs et non pas seulement de consommateurs. L’Europe doit mettre en place le cadre nécessaire pour que les entrepreneurs puissent réimplanter des usines et revaloriser le travail.
  3. Booster une politique d’investissement ambitieuse pour relever le défi climatique : Les pays qui ont le plus rapidement investi dans les voies ferrées, les canaux ou dans le réseau énergétique lié au charbon ont gagné la révolution industrielle. De même après la Seconde Guerre, le progrès s’est accéléré au même rythme que l’installation des réseaux routiers ou électriques. Une fois de plus, pour réussir le tournant de la transition, il va falloir investir dans les réseaux de transport verts et partagés, comme dans un réseau ferroviaire européen capable de concurrencer l’avion, et dans des réseaux de transport d’électricité, de capture et transport de CO2 ainsi que de transport d’hydrogène performants. Pour financer ces investissements colossaux, il nous semble indispensable de travailler sur 2 axes :
    – réviser le Pacte de stabilité pour distinguer dépenses d’investissement et de consommation ;
    – créer des obligations européennes « vertes » pour financer les projets d’investissement structurants.
  4. Garantir l’autonomie alimentaire de l’Europe grâce à une production durable et de qualité. C’est un enjeu géopolitique majeur auquel nous resterons particulièrement attentifs et actifs. C’est évidemment aussi un enjeu pour nos agricultrices et agriculteurs. Nous veillerons toujours à ce que les réformes agricoles à mener le soient avec les agriculteurs et non contre eux, en particulier, en ce qui concerne la complexité juridique et administrative que par rapport au nécessaire soutien financier dont ils ont besoin pour s’y adapter. En cela nous poursuivrons, avec la même détermination, le combat qui a été mené cette législature.

Pour Yvan Verougstraete : « nous sommes à un moment de bascule, les prochaines années doivent enfin permettre l’émergence d’une Europe politique assumée et positive aux répercussions énormes pour la vie de toutes et tous, aujourd’hui et demain. »