Se passer de pesticides et améliorer la conservation des sols nécessite plus de travail, un suivi plus fin et fréquent des cultures ainsi que des traitements « chirurgicaux ». Nous encouragerons dès lors la digitalisation en octroyant des primes à l’acquisition de machines électriques et à l’installation d’unités de production d’énergie renouvelable et de bornes de recharge. Cette transition ne devra pas fragiliser financièrement les agriculteurs. Leur métier doit garantir un revenu décent et rester attractif pour les jeunes générations ; au besoin, la réintroduction de systèmes de quotas sera envisagée.