Réparer c’est refuser l’obsolescence programmée, cette stratégie qui organise la fragilité des produits pour mieux les remplacer. C’est dire non à un modèle où tout est conçu pour casser vite et être jeté encore plus vite. C’est protéger son portefeuille autant que la planète. C’est soutenir des métiers locaux, des artisans, des réparateurs, des acteurs de l’économie sociale qui prolongent la vie des objets.
Réparer, c’est aussi réapprendre la valeur : celle du travail, celle du temps, celle de ce que nous possédons. Dans une société où l’on nous pousse sans arrêt à renouveler ce qui n’est même pas encore usé, choisir de réparer devient un geste presque subversif.
Grâce au travail mené en Belgique, l’indice de réparabilité est déjà une réalité pour plusieurs appareils. Nous voulons aller plus loin et appliquer la règle aux :
- vélos, trottinettes, téléviseurs,
- outils électroménagers,
- équipements du quotidien.
Nous organisons une table ronde dédiée à l’obsolescence programmée pour clôturer cette semaine et réfléchir ensemble à la manière d’allonger la durée de vie des produits, soutenir la réparation locale et de réduire notre empreinte carbone.
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