Revoir le montant des allocations à la hausse

Perdre son job, cela peut arriver à tout le monde. Et parce qu’il faut bien continuer à remplir le frigo, à rembourser ses prêts, à payer les études des enfants… nous souhaitons revoir le montant des allocations à la hausse (comme cela se passe dans les pays du nord de l’Europe), afin de ne pas ajouter de la précarité à la difficulté.

Perdre son job, cela peut arriver à tout le monde. Et parce qu’il faut bien continuer à remplir le frigo, à rembourser ses prêts, à payer les études des enfants… nous souhaitons revoir le montant des allocations à la hausse (comme cela se passe dans les pays du nord de l’Europe), afin de ne pas ajouter de la précarité à la difficulté.
Mais ces allocations de chômage seraient cependant limitées à l’avenir à maximum 2 ans consécutifs. Le chômage illimité dans le temps n’est plus audible pour toutes celles et ceux qui bossent et contribuent, par leurs impôts, à financer ces allocations dont le différentiel avec un job est parfois trop faible.
Ce n’est par ailleurs pas souhaitable non plus pour le chômeur lui-même, qui doit être intensivement coaché pour se réactiver et se remettre en situation d’emploi.

Au terme de cette période de 2 ans, tout chercheur d’emploi doit se voir automatiquement proposer un contrat de travail (droit à l’emploi) en tenant compte de son profil et de son parcours de formation. À défaut de l’accepter, il serait alors pris en charge par le CPAS.

Explications :