Prendre soin de soi et des autres

Prévenir avant de devoir guérir : Mesurons l’impact sur la santé de toutes les politiques

Nous souhaitons privilégier une politique de santé axée sur la prévention. Il est impératif d’agir sur tous les facteurs de la santé en ayant une approche transversale à l’ensemble des politiques publiques.

0,2 %
Part du PIB consacrée annuellement à la promotion et à la prévention de la santé.
€1 investi = €4 économisés
1€ investi dans la promotion et la prévention permet d’économiser 4€ en soins de santé.
20%
C'est la réduction des coûts pour les quatre pathologies (AVC, diabète de type 2, insuffisance cardiaque et cancer) grâce à la prévention. En chiffres absolus, cela signifie qu’après quelques années, il y aura une diminution de près de 5 milliards d'euros des dépenses en soins de santé, moins d’allocations et une productivité accrue.

Ce que nous proposons 

Le financement accordé aux politiques de promotion de la santé et de prévention sera doublé et augmentera avec le PIB. De plus, chaque décision politique doit être évaluée par rapport à son impact sur notre santé physique et mentale.

Pourquoi ?

  • En comparaison avec les autres pays européens, la part du PIB dépensée dans la prévention n’est que de 0,2% par an alors que 10,94% du PIB est consacré aux soins de santé. Augmenter le montant alloué à la promotion et prévention permet d’améliorer la qualité de vie, d’avoir un retour sur investissement et des économies en soins de santé ;
  • Un État proactif en matière de santé doit veiller à ce que toute politique menée, dans chaque compétence et à chaque niveau de pouvoir que ce soit, prenne en compte la dimension « Santé » dès le début du processus décisionnel et soit de nature à renforcer l’état de santé de la population ou d’une partie des citoyens !