Vivre en harmonie avec la nature

Neutralité béton : Chaque nouveau m2 artificialisé devra être compensé par la désartificialisation d’un m2 au plus tard en 2035

Nous voulons préserver la biodiversité et limiter l’impact du réchauffement climatique en limitant l’artificialisation des terres et en privilégiant la rénovation du bâti existant.

11,8 km2/an
L’artificialisation moyenne actuelle en Wallonie.
2035
L’horizon auquel nous souhaitons tendre vers la neutralité béton. La majorité wallonne actuelle s’est fixée 2050, ce qui est bien trop tard pour répondre aux enjeux actuels.
0€
Ce sont les moyens financiers actuellement dégagés par la majorité wallonne pour indemniser les propriétaires de terrains destinés à l’urbanisation et qui ne pourront plus être construits à l’avenir.

Pourquoi ?

  • L’artificialisation des terres est un facteur aggravant les conséquences du changement climatique. Elle empêche l’absorption des eaux par les sols, ce qui renforce l’ampleur des inondations ;
  • La réduction des espaces naturels, agricoles et forestiers est l’une des causes de la perte de la biodiversité.

Ce que nous proposons 

Les citoyens et entreprises disposeront d’une trajectoire transparente et précise permettant de les rendre acteurs d’une nécessaire transition vers la neutralité béton. Pour y parvenir, nous entendons définir un objectif de neutralité béton d’ici 2035.

Cela demandera de préserver certains espaces nécessaires tels que les espaces verts et les zones agricoles. Un mécanisme de compensation devra être mis en œuvre pour que chaque nouveau m2 artificialisé finance un fonds d’indemnisation des propriétaires fonciers qui devront renoncer à construire sur leur terrain. Parallèlement, la rénovation sera encouragée et soutenue. Enfin, une méthode et des priorités seront fixées pour actualiser les différents plans de secteur.

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