Une économie au service d’une vie de qualité

La ruralité, ça compte : Pour le maintien des services publics en zone rurale

Notre voulons garantir à l’ensemble de nos citoyens, qu’ils soient urbains ou ruraux, des services publics comme privés de qualité. Ces dernières années, nous observons une accélération du phénomène de disparition de services de proximités, en particulier dans les zones rurales, à laquelle nous souhaitons nous opposer.

40%
Le pourcentage de la population qui habite en zone rurale en Wallonie.
4.000
Le nombre de distributeurs bancaires qui devraient être disponibles dans tout le royaume, d’ici fin 2024, entre la fermeture d’agences et la mise en oeuvre du projet Batopin. En 2017, il y avait plus de 8.000 distributeurs de billets en Belgique. Dans les zones rurales, ce phénomène induit des distances plus longues afin de trouver un appareil.
50%
Le pourcentage de communes wallonnes connaissant une pénurie de médecins généralistes, phénomène qui touche tout particulièrement les communes rurales.

Ce que nous proposons

L’action des pouvoirs publics de tous les niveaux de pouvoir sera coordonnée pour assurer une présence de services publics, notamment dans des maisons multiservices ou des espaces de coworking. Une concertation avec le secteur privé sera organisée en vue d’assurer une égalité de traitement pour les ruraux (accès aux distributeurs bancaires, soins de santé…).

Une couverture numérique sera assurée sur l’ensemble du territoire afin de permettre le développement d’activités économiques et de permettre à chacun de disposer d’une connectivité de qualité.

Pourquoi ?

  • Les habitants des régions rurales souffrent d’une réduction de l’offre de services et plusieurs catégories de la population, en particulier les plus fragiles, subissent un isolement croissant (aînés, public précarisé…) ;
  • Nous ne pouvons accepter que des citoyens soient victimes d’une réduction de ces services en raison de rationalisations qui ne prennent pas en compte l’aspect humain et social ;
  • Les ruraux ne disposent déjà pas d’une offre en transport public qui soit suffisante ni d’une couverture de réseau GSM adéquate, et ils se voient imposés une double peine avec la disparition progressive, mais constante des banques, des distributeurs de billets, des bureaux de poste, des gares, des offres médicales…

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